Eisley Okaï [ en construction ]

::Votre personnage::

Nom: Okaï
Prénom: Eisley
Âge: Aux environs de 350 ans
Grade: Arrancar Adjuchas

Votre Zanpakutoh:
Description de la forme non-libérée.
Description de la resureccion:

Description psychologique:

Description physique:

Histoire:

http://www.deezer.com/track/1993

« Vivre la naissance d'un enfant est notre chance la plus accessible de saisir le sens du mot miracle. » Paul Carvel

Miracle? Oui, cet homme se tenant au chevet de sa femme eut comme un flash lumineux éclaircissant toutes ces zones floues et sombres. L’enfant que sa bien-aimée tenait dans ses bras, ne pouvait être le sien comme il l’avait espéré. Ce don du ciel lui avait ouvert les yeux. Sa femme le trompait…
Lui qui se pensait la victime et refusant qu’un homme de sa stature le soit, il délégua cette tâche à son « fils ». Il le déposera au bas de la porte d’un monastère, ne pouvant pas, finalement, soustraire la vie à cet enfant. L’éducation de ce dernier sera alors prit en charge par une communauté de moine malgré la réticence de la plupart, mais l’avis du patriarche avait tranché cela. Celui qui se fait nommé Eisley fut nommé alors Matteo à cette époque. Il ne pu, à son grand regret, échapper à la religion. Lui qui s’amusait souvent à comparé Dom Juan à la Bible, se prit de passion pour la littérature, le théâtre, la musique. Il se déliera peu à peu et très rapidement de cette famille religieuse dans laquelle il était entré sans même le vouloir. Adolescent il passa ses journées à lire les œuvres de Molière, voir des pièces de Goldoni, avant qu’il ne parte en exil en 1762, débuter l’apprentissage de divers instruments qui lui revaudront d’innombrables remontrance dans l’abbaye. Ayant passé son dix-huitième anniversaire, le patriarche dût se résoudre à le laisser partir comme ils l’avaient convenus. Lui qui voyait en Matteo son propre fils était sûrement le seul qui fut apprécié de celui-ci, autant par sa laxité qui avait permis à l’orphelin de suivre ce qu’il aimait, que par la bienveillance qui lui avais porter. Finalement ce père qu’il n’avait jamais eût était présent depuis sa tendre enfance mais accordant d’importance uniquement à l’art, il ne le remarquera jamais.
Vagabondant de ville en ville avec pour seul gagne pain la musique qu’il jouait sur les grandes places, Matteo s’improvisera comme critique d’art, notamment de pièce de théâtre. Ceci intéressa certains éditeurs de journaux qui publièrent chacune des critiques suscitant l’indignation de certains. « Pour qui se prenait-il ? » Pensaient-ils sûrement… lui qui était un simple musicien s’improvisant critique s‘était mit à dos les mauvaises personnes.

« Buvons, chers amis, buvons :
Le temps qui fuit nous y convie ;
Profitons de la vie
Autant que nous pouvons. »
Molière

Il avait reprit ces mots, au centre d‘un bar baigné par la musique folklorique, le bras levé, la choppe de bière à la main. Depuis qu’il avait rencontrer cette femme il trouvait la vie trop courte. Ici même, il s’était décidé de vivre pleinement cette vie et s’était permis de partager cela. Mais s’avait-il qu’il ne reviendrait jamais auprès de celle qu’il aimait? Il sera retrouvé mort dans une petite ruelle, et à ces côtés, un masque type de la comédie italienne.

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